Optimisme
OPTIMISME
Le siège du pessimisme se trouve à la fois dans le cortex, tissu qui recouvre les deux hémisphères cérébraux ( le cerveau de la pensée) et dans le système limbique (le cerveau émotionnel, primaire que nous partageons avec les animaux).
On suppose que le siège de l’optimisme est lui aussi situé à la fois dans le cerveau cortical (réfléchi, conceptuel et spéculatif). et dans le cerveau émotionnel.
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On peut « apprendre » le pessimisme ce qui va engendrer « l’impuissance». Si nous avons eu des expériences de réussite, grâce à nos efforts, nous pouvons créer nous-même notre propre optimisme. L’optimisme s’acquiert par l’expérience, l’imitation de modèles. Si l’on voit, fréquente des gens optimistes, on le deviendra. Si l’on fréquente des gens pessimistes, on le deviendra… Devenir optimiste si et seulement si
la Vision de soi est constructive,
la Vision du monde est réaliste,
la Vision de son avenir est objective.
Apprendre à se voir autrement et à voir les choses différemment…
Ainsi l’individu développe des préférences cérébrales plus ou moins importantes sur :
• le cerveau droit (intuitif et global)
• le cerveau gauche (logique et analytique),
• le cerveau limbique (émotionnel et affectif)
• le cerveau cortical (réfléchi, conceptuel et spéculatif).
Chaque personne possède donc une carte mentale unique qui lui fait percevoir le monde, et à fortiori les différentes tâches professionnelles, à travers le prisme de ses préférences cérébrales.
L’optimisme augmente nos capacités physiques et intellectuelles. Rôle crucial de l’optimisme dans la guérison. A l’intérieur de nos cerveaux, se trouvent des substances comparables aux dérivées de l’opium.
La confiance et l’expectative, des composantes cardinales de l’EPOIR, parviennent à neutraliser la douleur en libérant des endorphines et des enképhalines du cerveau, imitant les effets de la morphine.